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La loi d’amnistie ne peut couvrir les crimes graves notés au Sénégal entre 2021 et 2024. C’est une question de sauvegarde du droit international, estime Me Said Larifou. L’avocat et président du parti Ridja Pactef aux Comores estime que le Sénégal, longtemps perçu comme un exemple en Afrique, a le devoir de juger les auteurs et commanditaires des crimes notés durant la période 2021-2023.
Me Larifou donnait une conférence de presse à ce sujet ce lundi à Dakar.