Thiaroye-sur-mer, 29 oct (APS) – L’ancien député-maire de Pikine (banlieue de Dakar), Daour Niang Ndiaye, a décidé d’apporter son soutien à la coalition Actions, pour les élections anticipées du 17 novembre prochain, a-t-on appris mardi, de sa tête de liste nationale, le professeur Daouda Ndiaye. ‘’Je viens de rencontrer une grande personnalité de Pikine, du Sénégal, je dois dire qui a eu à occuper de hauts postes de responsabilité. Je peux dire qu’à partir d’aujourd’hui Daour Niang Ndiaye est avec nous. Pikine en avait besoin’’, a-t-il déclaré après un entretien avec l’ancien député-maire de Pikine. Il a salué le riche parcours politique de son nouveau souteneur qu’il a qualifié d’homme ‘’ sage, d’icône, et de référence pour le Sénégal qui a beaucoup œuvrer pour le développement de la banlieue et du Sénégal’’. ‘’Daour Niang Ndiaye est une fierté qui a aidé beaucoup de familles et encadré beaucoup de jeunes, devenus aujourd’hui, des leaders. Si aujourd’hui, il accepte d’être avec nous, de travailler avec nous pour ces élections législatives, on ne peut que s’en réjouir’’, a souligné Daouda Ndiaye qui dit compter sur l’expérience et la sagesse de l’ancien député-maire de Pikine. ‘’Il faut s’attendre à ce que plusieurs autres grosses pointures de la politique nous rejoignent pour nous appuyer aux élections législatives anticipées afin qu’une fois élus, faire de notre Assemblée nationale, une fierté’’, a dit le professeur Daouda Ndiaye. SG/AB
SENEGAL-ENVIRONNEMENT-COMMEMORATION-REPORTAGE / Bamboung, une idée des trésors du delta du Saloum – Par Mohamed Tidiane Ndiaye (APS)
SENEGAL-COLLECTIVITES-RETROSPECTIVE / Les évènements majeurs de la région de Thiès en 2024 : le naufrage de migrants à Mbour, l’achèvement des travaux de la grande mosquée de Tivaouane et l’inauguration de la statue Lat-Dior
SENEGAL-ECONOMIE-RETROSPECTIVE / États généraux sectoriels, accusations de falsification des comptes publics et crise de la dette dominent l’économie sénégalaise en 2024
SENEGAL-MESSAGE-JUSTICE / Manifestations politiques : le chef de l’Etat parle d’une « dette morale » envers les victimes des évènements survenus entre 2021 et 2024